J78 05/08/2017 L’Association Franco-Kyrgyze de l’Eco-Tourisme

Etendage de la lessive dans la chambre…Il ne faut pas se plaindre, le lavage a coûté 3000soms, moins de 4€. Discussion avec le voisin d’en face qui, mécontent que JL gare le K6 devant chez lui, a ouvert la porte du conducteur. Échange vif. Finalement, le propriétaire de l’hôtel Salut où nous sommes, me fait une place. C’est un Kazhak qui a toujours le sourire, même quand on lui demande pourquoi seulement un étage de l’hôtel est terminé.

Pendant que JL essaie de faire marcher le téléphone kyrgyze dans l’entrée de l’hôtel, un des clients vient discuter avec F qui attend dans le K6. C’est un valentinois qui est venu là en vélo et qui attend qu’on lui répare son porte-bagage avant qui est mort dans le Pamir. Le monde est petit.

Contact établi avec le copain de Corentin et RV pris pour l’après-midi. Nous allons visiter le bazar d’Osh à Bichkek (c’est son nom, écrit en gros caractères cyrilliques sur l’arche à l’entrée). Il y a plusieurs zones, certaines dans des immeubles en béton, mais la majorité est, comme à Osh ou à Murghab, constituée de conteneurs alignés et reliés entre eux par des toits en tôle ondulée.

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Nous y passons 3 bonnes heures, admirant les vêtements kyrgyzes, les chaussons en feutre, les instruments de musique et toute l’alimentation. C’est immense. Déjeuner dans un restaurant où il n’y avait que des femmes. En fait, les femmes étaient ensemble au 1er étage et les hommes au rez-de-chaussée.

A 16h, nous rencontrons Philippe Boizeau comme promis à Corentin. Il est président fondateur de l’Association Franco-Kyrgyze de l’Eco-Tourisme (https://www.facebook.com/assoc.AFKE/). Cette association existe en France et au Kyrgyzstan et a pour buts de promouvoir les échanges entre les deux pays et d’éveiller les esprits au concept de l’éco-tourisme, surtout au Kygyzstan. Nous passons un bon moment avec lui, et il nous donne gentiment de bons conseils pour voir des sites peu courus par les touristes mais très intéressants.

Nous le quittons pour remonter dans la montagne nous coucher pour être à pied d’oeuvre le lendemain pour une grande balade. Nuit au bord du torrent Alamedin, à 35km au sud de Bichkek.

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