30/01/2020 Goa

Petit déjeuner agréable dans le bar sur le même pont que notre cabine. A l’arrivée du bateau, il nous faut attendre accostés on ne sait trop quelle autorisation pendant plus d’une demi-heure. Le quai est en fait au bout du port de fret, et nous voyons les bobines de métal arriver probablement d’une aciérie locale, et être stockées avant d’être chargées sur un cargo. Des grues portuaires déchargent du vrac, charbon semble-t-il. Enfin, nous sommes autorisés à descendre. Et là, nous nous rendons compte que, faute d’avoir réservé un véhicule sur internet, nous devons passer par les « taxis » prépayés, le moins cher étant 400 roupies pour 3km (prix pour la même distance à Delhi : 50 roupies). De la gare des bus, nous partons dans une guimbarde qui s’arrête tous les 500m en direction de Margao à 30km. De Margao, une autre guimbarde du même acabit nous propulse vers Benaulim. De l’arrêt, il nous reste environ 1 km pour rejoindre l’hôtel en bord de mer, que nous couvrons à pied, croisant pas mal de touristes, dans nos âges, à pied, en vélos, et autres transports. La zone est très touristique, tendance bidochon.

Les hippies de Goa ont bien changé…

Pétanque indienne : les boules sont plus petites que le cochonnet


Le Blue Corner est conforme à la description, au bord de la plage. Hébergement en paillotes pas très spacieuses, avec lit à baldaquin équipé d’une moustiquaire et eau chaude pour la douche. Déjeuner léger dans le restaurant sur la plage. Bulle sur place dans l’après-midi, nous nous trempons sans pouvoir nager, il y a un fort courant côtier, des vagues puissantes, et l’eau est très sableuse. Mais il y a du monde très divers sur la plage.

Run the cartwheels : faire la roue en anglais
Coucher de soleil avec une lumière fantastique

Dîner dans le restaurant, nous n’avons décidément pas envie de bouger, c’est la partie farniente. Nuit calme.