J170 05/11/2017 En route vers la frontière

Cette fois, c’est la bonne, nous repartons de bon matin (tellement bon que nous n’avons pas eu de petit déjeuner, service inexistant dans cet hôtel) et filons bon train, le K6 en pleine forme. Arrêt dans un petit bois pour le petit déjeuner maison, rapidement entourés par une famille qui ne fait pas mystère qu’elle veut nous voir déguerpir et vite. Ils ne sont probablement pas très en règle, ou nous sommes sur un territoire qu’ils sont chargés de garder ? Nous ne saurons pas, et finissons tout de même notre repas devant ce public improvisé et impatient. L’autoroute se déroule bien, sauf des portions en travaux à cause de réfection de ponts et de carrefours. Arrivée à Amritsar en début d’après-midi, nous découvrons un magasin Métro à l’entrée de la ville, nous y faisons quelques courses de produits difficiles à trouver dans les magasins indiens et en profitons pour prendre un déjeuner sur le pouce dans un fastfood local.

 

Nous retrouvons le jardin de la guesthouse de Mme Bhandari avec plaisir, et apprécions de pouvoir reprendre nos nuits dans le K6. C’est l’automne, et même en Inde, les arbres perdent leurs feuilles. La température a fraîchi, et nous ne nous trempons même pas dans la piscine.

J169 04/11/2017 …cela donne une éclipse !

Tous guillerets de bon matin, nous sommes pleins de bonnes intentions pour remettre le K6 en état propre à rentrer à la maison. Il s’agit de trouver un rétroviseur extérieur pour le côté droit, et le faire laver. Dans le quartier des mécanos, il ne faut pas faire dans la dentelle : là où Taimoor avait annoncé 80 roupies pour un bout de miroir à coller directement sur les débris de l’ancien, le « spécialiste » de Chandigarh exige 1500. Comme d’habitude, il faut trouver la bonne extrémité de la ficelle pour débobiner et arriver à quelque chose d’acceptable : 400 roupies, rétro collé. Il y en a pour un peu plus d’une heure, ce qui suffit pour le lavage.

Avant de visiter la ville dessinée par Le Corbusier, nous partons nous tremper dans la foule indienne du jardin de pierres, un « Palais Idéal » à la taille de l’Inde.

 

 

 

 

Puis nous acheminons alors vers un bon restaurant au club house du parcours de golf local. C’est bon et le lieu est magnifique, mais le service est nul. Enfin, nous reprenons la route direction Amritsar, à la frontière du Pakistan. Et 10mn plus tard, en pleine ville, la cata. Voyant batterie allumé, plus de direction assistée, le K6 est inconduisible. Nous progressons un peu en direction des mécanos du matin, puis changeons d’idée. Nous appelons Taimoor. Une heure plus tard, il envoie un n° de téléphone. Il nous faut un interprète pour comprendre l’anglais du garagiste. Pb : l’interprète comprend ce qu’on lui dit au téléphone, mais ne sait pas où c’est. Finalement, nous arrivons au garage vers 17h, le K6 rend l’âme en entrant dans la cour : plus de batterie. Diagnostic immédiat : courroie d’alternateur rompue à cause de la poussière accumulée dans les gorges. Une chance : sur les débris retrouvés dans la tôle de protection, on peut lire la référence de la courroie. 2 courroies sont rapidement approvisionnées et l’une mise en place.

A 21h, le K6 redémarre, prêt à la route, mais il est trop tard, il fait nuit, il nous faut coucher de nouveau à Chandigarh. Ashok Kumar ne nous lâche pas : il nous accompagne à la station service puis à l’hôtel. Nuit réparatrice bien gagnée. Nous sommes vraiment contents que cette panne soit arrivée là et maintenant plutôt que la semaine prochaine…

J168 03/11/2017 Et quand les planètes sont alignées…

Lever de bon matin, études de cartes dans tous les sens avec tous le logiciels disponibles, nous arrivons à cerner le quartier, mais pas l’adresse exacte. Sur place, nous comprenons que l’adresse donnée est surabondante et probablement décrit 2 endroits distincts. Le quartier, c’est en fait un vaste ensemble  d’anciennes fermes rachetées par des particuliers qui en ont fait des domaines clos très fermés sur lesquels ils ont fait construire de grandes villas luxueuses bien gardées dans leurs murs. Nous sommes perplexes. Où est ce garage ? Un voiture de police est au bord de la route, ils veulent bien nous emmener. Au bout de quelques centaines de mètres, on nous ouvre un grand portail, et nous découvrons une autre résidence dans la résidence, c’est des poupées russes ! L’adresse est au fond. Perdu. Le gardien qui nous a vus arriver nous informe qu’il y a 2 adresses avec les mêmes coordonnées, c’est l’autre la bonne, elle est juste en face du grand portail, à l’extérieur. Nous nous y présentons, un peu anxieux : toujours pas de garage. Mais à travers le portail, on peut voir quelques grosses Mercedes, des BMW, une Porsche…On nous ouvre, le jeune regarde notre voiture, un peu surpris : « c’est pour cette voiture ? » Le père, visiblement sortant de sa douche, nous accueille avec le sourire, prend les choses en main immédiatement. Une prise est branchée, et il s’installe dans un fauteuil à l’ombre avec son appareil de contrôle ; le fils est au volant du K6 et suit les instructions du père.

 

Le chat Jaguar s’est déjà installé sur le siège arrière, il parait que c’est bon signe, il adore les belles voitures. JL suit de près. 20mn et quelques redémarrages plus tard, plus de clignotants, le père a le sourire, débranche la prise et demande, pourquoi n’allez-vous pas essayer ? Essai avec le fils, la puissance est bien là, elle ne demande qu’à sortir, nous n’étions plus habitués.

 

Tout le monde a le sourire, le père s’est visiblement bien amusé. Il explique que son champ de compétence, c’est les voitures importées exclusivement et uniquement le haut de gamme : Ferrari, Maserati, Lamborghini, Bentley, etc Mais il aime bien le concept de notre K6 et nous trouve sympas. Il ne demande rien pour des babioles comme celle-là. La seule chose qu’il accepte, c’est une petite tour Eiffel que nous avons un peu honte de lui offrir, mais nous n’avons rien d’autre. En fait, il a un atelier officiel ailleurs (l’autre partie de l’adresse ?) et là, nous sommes chez lui, nous avons été reçus avec thé, café, très agréablement. Nous repartons tout guillerets, directement sur la traversée de Delhi de part en part qui nous prend 2h avant de nous arrêter pour le déjeuner. La conduite du K6 est redevenue normale et très confortable, tout va bien. En fin d’après-midi, nous atteignons le but de la journée : Chandigarh. Hôtel moderne pas trop cher et propre, et au repos.

J167 02/11/2017 Les planètes s’alignent sans prévenir

JL a un peu honte de réquisitionner la ligne principale de l’hôtel et l’ordinateur du patron, mais il faut arriver à une solution avec l’iPad ou il faudra en racheter un (plus de 600€ pour un 32GB avec SIM). Il décide donc de remettre le couvert avec Apple Care au téléphone. La communication s’établit à 09:00 environ. C’est un conseiller cette fois. Pas d’accent, très compétent. Au bout d’une demi-heure, le diagnostic est définitif : pas de réactivation possible, la machine ne répond pas. Dernière solution : restauration, comme il n’y a pas de sauvegarde, les données seront perdues. Françoise avertie avait donné le feu vert, et en une heure, la machine est repartie comme neuve. Déjeuner dans un restaurant sur le toit d’un immeuble de la petite place de Paharganj, toujours léger et occidental. Entretemps, le cousin de Mohammed a finalement choisi un autre expert, au sud de la capitale. Cela tombe bien (haha), parce que F veut visiter le mausolée de Humayum, aussi au sud.

Sans savoir si nous sommes bien en train de nous rapprocher de notre homme, nous quittons notre hôtel bruyant pour le mausolée. Ce qui est intéressant là, c’est la taille du parc et la propreté impeccable. L’endroit est magnifique et très agréable. Il y a en fait plusieurs bâtiments dans le même parc, le plus impressionnant étant bien entendu le mausolée d’Humayum.

 

 

 

 

 

 

 

 

Nous trouvons un hôtel avec un parking pas trop loin, dînons dans un autre hôtel avec restaurant occidental et au  lit, non sans avoir reçu l’adresse de l’expert pour le lendemain.

J166 01/11/2017 Histoire de pomme, ou comment perdre son temps bêtement

On parle souvent de la loi de Murphy, l’empilage des emm…dements. Mais on oublie souvent de dire qu’il y a peu de hasard là. Le nez dans le guidon, nous ne voyons pas venir l’obstacle et buttons dedans tête baissée.

Expérience malheureusement intéressante que cet échange avec le service Apple Care au téléphone en Inde. On obtient immédiatement un conseiller qui est disponible longtemps et qui connait bien les produits. Comme l’iPad est bloqué, il nous faut le connecter à un PC qui fait tourner iTunes et qui va faire le boulot pour lui. La jeune femme (dans notre cas) ne peut pas voir l’iPad et nous demande donc l’autorisation de voir notre écran d’ordinateur. Nous installons un petit logiciel de communication et là, cela commence à se gâter. Elle découvre que notre machine est en français et elle ne peut pas comprendre ce qui se passe à l’écran. De plus, elle a un accent indien épouvantable et JL ne comprend pas la moitié de ce qu’elle dit, d’autant qu’il utilise la ligne du lobby de l’hôtel, les chambres n’ayant pas accès à l’extérieur. Elle exige un PC indien. Le patron de l’hôtel prête son appareil. Pendant plus de 2h, JL monopolise la seule ligne externe de l’hôtel (combien ont-ils perdu de réservations pendant ce temps ?) et le PC du patron. Jusqu’au moment  où il faut redémarrer l’iPad, la conseillère découvre que la carte SIM est verrouillée, il faut la déverrouiller, JL fait stupidement 3 fois un code erroné, la carte est bloquée, nous n’avons pas le code PUK, game over. Personne ne s’énerve, le patron de l’hôtel recommande l’achat d’une autre carte SIM locale. Rapidement fait, mais l’activation de la carte SIM va prendre toute l’après-midi. Fin de l’histoire pour aujourd’hui (on ne parle pas de la désolidarisation de la carte dans son logement qui a imposé un peu de force pour être extraite). Pendant ce temps, Mohammed et son cousin courent après des spécialistes de la reprogrammation moteur, l’expert retenu ayant soudainement disparu. En fin de journée, 2 contacts annoncés, et un trouvé par nous sur internet. Il faut patienter…

Nous sommes pas mal patraques, nous prenons tous nos repas dans des restaurants où l’on peut trouver des plats occidentaux sans épices. Coucher tôt. Pas de photo aujourd’hui, cela reflète peut-être notre état d’esprit, face à ces tracas introduits par les systèmes électroniques censés nous aider dans nos projets et qui deviennent parfois de vrais boulets à traîner. Les ingénieurs nous prennent vraiment pour des handicapés du cerveau. Ou peut-être, au contraire, ont-ils peur d’avoir fait des erreurs qui peuvent leur être reprochées, et verrouillent-ils toutes les possibilités de réglage.

J165 31/10/2017 Retour à Delhi

Le passage par Delhi n’était pas dans l’itinéraire retour. Il est rendu nécessaire par le problème de puissance du K6 que nous voulons résoudre avant d’aborder le Balouchistan, et la réactivation de l’iPad, bien qu’il semble finalement que l’on puisse travailler ce sujet au téléphone. De bon matin donc, nous voilà de nouveau sur la route avec F au volant, JL roupille plus ou moins sur le siège du passager. Le trajet prend 3h, mais  l’entrée dans Delhi prend une bonne heure de plus. Nous choisissons un hôtel proche de Paharganj mais pas le Jyoti Mahal, sans savoir si la rue a été refaite. En fait, nous saurons plus tard que notre choix est très bruyant et que la rue du Jyoti Mahal a été refaite.

 

A peine installés, nous partons en métro pour un centre de réparation Apple où de nouveau nous passons 2h à essayer de débloquer la machin, à côté d’un empilement de gamelles simulant un champignon nucléaire impressionnant.

Sans résultat, le technicien nous donne un n° de téléphone du service client Apple qui devrait pouvoir nous dépanner. Au passage, nous visitons un hall d’exposition Royal Enfield, leur présentation s’est beaucoup améliorée, et les motos ont une allure folle. Les prix en Inde sont en dessous de 2,08 lacks, c’est à dire 2 08 000 roupies. Cela fait moins de 2800€. Les machines sont Euro4. Epuisés, nous allons manger rapidement et retournons à l’hôtel.

Dans la soirée, un défilé très bruyant entraîne un jeune garçon sur un cheval devant l’hôtel. Une des très nombreuses célébrations quotidiennes en Inde.

J164 30/10/2017 Jaïpur

JL est HS. F va visiter le palais du maharajah toute seule.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En plus, il y a des problèmes de logistique informatique : Les 2 téléphones et la tablette ont décidé de faire des mises à jour lourdes, ce qui prend un temps fou et peut ne pas fonctionner. L’iPad  se bloque et c’est notre meilleur outil de navigation. L’après-midi se passe à l’hôtel tranquille, puis dans un tuktuk pour aller dans un magasin Apple. Là, nous passons 2h à télécharger, puis essayer de mettre en route un nouveau système dans l’iPad sans succès. Retour à l’hôtel et nuit tranquille.

J163 29/10/2017 En route pour Jaïpur

Nous quittons Pushkar le ventre vide, notre hôte ne fournit pas le petit déjeuner…Dans la descente sur Ajmer, une plateforme a été aménagée pour recevoir la statue de Tartampion sur son cheval. Parking à peu près horizontal, parfait pour un arrêt repas. Il n’y a personne, mais rapidement le K6 attire les curieux. 3 heures d' »autoroute » et un coup de frein en catastrophe pour éviter un camion changeant de file brutalement et sans prévenir plus loin, nous arrivons à Jaïpur, la capitale du Rajastan. Discussion pour savoir si nous y passons un ou deux jours, JL étant tenté par un parcours dans le Shekhawati avant de rejoindre Dehli. Le problème vient du fait que nous ne sommes pas libres : Mohammed a dû nous arranger un RV le 01/11 dans un garage pour régler notre problème de puissance. Finalement, cela se règle tout seul : JL est atteint des mêmes symptomes que F 2 jours plus tôt : grosse fatigue, nausées…

Après un déjeuner rapide dans un restaurant grand style, nous allons quand même visiter le palais des vents

 

(un peu décevant : c’est vide de tout aménagement et plein de touristes, surtout des groupes de jeunes)

 

 

 

et l’observatoire du maharajah (impressionnant de voir tout ce qu’il a pu faire faire, mais un peu perplexe devant le résultat : les outils de mesure utilisant le soleil ont une épaisseur de trait rendant la mesure très imprécise -la pollution probablement-, et les autres outils sont partiellement démontés) et rentrons tôt à l’hôtel.

 

Dîner léger et rapide dans l’hôtel et nuit de repos.

J162 28/10/2017 La foire aux dromadaires de Pushkar

Départ de Jodhpur vers 09:30 en direction de Ajmer. La route est assez bonne, le trafic pas trop encombré, nous alignons les km. Mais il y a environ 200km à parcourir, cela nous prend quand même plus de 3h. A Ajmer, arrêt déjeuner, puis au moment où nous repartons, un embouteillage se forme juste devant nous car un arbre vient de tomber sur la route. Il y a un tuktuk dessous, bien écrasé…A quelques secondes près, l’arbre nous tombait dessus. Ce n’est pas notre jour, nous passons notre chemin en pensant aux passagers du tuktuk. Arrivée à Pushkar, on nous demande de payer une « taxe gouvernementale » de 50 roupies à l’entrée du village. JL objecte, les « collecteurs » font marche arrière et nous souhaitent un bon séjour. En fait, sans le savoir, nous venons d’entrer au cœur de la fête annuelle de Pushkar : la foire aux chameaux. Entrer dans le village pose des problèmes, soit il s’agit de rues piétonnes, soit elles sont barrées par la police qui ne veut rien savoir. Nous allons à pied trouver une chambre que l’on nous vend presque 2 fois le prix sur internet,et nous entrons la voiture par une rue piétonne. La foire dure une semaine, et aujourd’hui, c’est le premier jour. Il y a donc moins de touristes qu’il n’y en aura, mais il y en a quand même beaucoup. Nous allons voir la foire aux bestiaux et constatons qu’il y a plus de chevaux que de dromadaires.

Mais la partie réservée aux dromadaires est intéressante, il en vient de tout le Rajastan.

 

 

 

Il y aura un concours de décoration des bêtes, et on peut voir les chameliers déjà à l’oeuvre pour améliorer l’aspect de leur monture.

 

 

 

Nous avons assisté à des démonstrations de dressage de cheval et de dromadaire, et cela a l’air de demander du doigté.

 

 

La journée se termine par une visite au temple Brahma et au bazar adjacent, puis un dîner dans un restaurant « italien » pour ménager les tripes de F.

J161 27/10/2017 Palais du maharajah de Jodhpur

Encore une nuit près d’une gare, avec les trains meuglant leurs mouvements. Nous repartons après le petit déjeuner, direction le palais du maharajah de Jodhpur.

Ce palais est très impressionnant vu de la ville qu’il domine. Tout le sommet de la colline est occupé par le grand bâtiment qui s’appuie sur la roche tout en bas. Nous décidons de nous y rendre à pied. Et ça monte.

 

 

Mais à pied, on peut faire de sympathiques rencontres, comme ces jeunes qui habitent toujours dans le palais où vivaient leurs parents, maintenant quasiment en ruines,

 

 

ou cette femme qui aide sa sœur à tenir une guesthouse dans la montée. Le palais est un des chefs-d’œuvre de l’architecture indienne de l’époque, et il comporte de nombreux aspects inédits ailleurs. Les touristes y sont donc nombreux, et il faut parfois jouer des coudes pour arriver à voir ce qui est intéressant. C’est une succession de salles et de cours, toutes plus belles les unes que les autres. Les décors sont en relativement bon état, comparé à ce que nous avons vu jusqu’ici. Ce palais a une atmosphère de vie, il ne donne pas l’impression d’avoir été abandonné de puis longtemps. Le fait peut-être que nous sachions que le dernier maharajah de Jodhpur est toujours vivant, qu’il vit toujours à Jodhpur, aide à imaginer la vie dans le fort.

 

Nous allons ensuite voir le mausolée de Jaswant Singh II, bâtiment inspiré du Taj Mahal, totalement en marbre blanc, duquel on peut admirer le fort Mehrangarh (sauf que quand on y va le soir, le fort est à contrejour). Nous redescendons par les escaliers et les ruelles pour rejoindre la tour de l’horloge et le bazar Sardar, où l’on peut acheter des produits typiques du Rajastan aux prix pour les Indiens. Et, toujours à pied, nous rejoignons notre hôtel non sans nous arrêter pour boire un sweet lemon soda, un vrai régal. Dîner dans un restaurant indien moderne.