Départ du camping sous la pluie qui vient de commencer.
Toute la journée se passe le long du Rhône, avec une petite pluie fine le matin.
Nous longeons la grande usine Lonza, dont les Suisses nous dirons plus loin les dégâts de pollution qu’elle a entraînés dans toute la vallée qui a utilisé les boues issues des procédés chimiques.
La piste est parfaitement goudronnée (commune aux rollers), mais peut se dégrader quelquefois en chemin caillouteux inconfortable. La signalisation est facilement identifiable.
Courses à Sion, déjeuner au bord du Rhône.
Nous ne sommes plus en montagne, l’habitat est plus moderne et moins intéressant, mais il reste encore des maisons anciennes, maintenant en pierre.
Un chevreuil traverse le fleuve dans le courant juste à côté de nous, sans nous laisser le temps de prendre un cliché.
Il y a un fort vent de face (comme disent les Suisses, la vallée du Rhône, ça se remonte!)
On retrouve nos Parisiens du train, toujours hautains et galéreux : le père a perdu son téléphone et ne se trouve plus avec les 2 autres. Tout le monde est au courant.
Courses 5km avant Martigny, mais pas d’endroit agréable pour camping sauvage, nous optons pour le camping TCS de Martigny où nous sommes très bien accueillis et informés.
Nous avons eu des voisins arrivés après le coucher du soleil et repartis avant le lever…